Préface de Philippe d'Hugues
Avec ces Lettres à une provinciale – quoiqu’elles eussent été adressées à une Angèle imaginaire au fil des années 1936-1940, dans les colonnes de Je suis partout –, il est proposé un véritable ouvrage, construit, homogène, avec unité d’action et de personnages. Ces textes sont comme un tourbillon qui nous entraîne dans l’univers de Brasillach. Il lui parle littérature, cinéma, avenir de la France, en une succession de saynètes mêlant comique, poésie et gravité. Angèle a des idées de gauche, elle soutient le Front populaire : cela permet à Brasillach d’attaquer ce régime avec une joyeuse allégresse…
L’article Lettres à une provinciale est apparu en premier sur FrancePhi Diffusion.